Originaire du Témiscouata, Audrey enseigne la philosophie au cégep et complète actuellement un doctorat. Poétesse à ses heures avec le Collectif BDR (Bestiaire Des Ruelles), elle est créative et friande de jeux de mots.
C’est à l’Université Laval en 2014 qu’Audrey assiste à son premier cours de Lindy Hop. En 2015, elle découvre La Swing Ambassade, des professeur·e·s enthousiastes qui ont à cœur l’évolution et l’inventivité de ses étudiant·e·s. C’est un environnement ouvert, inclusif et sécuritaire qui la rejoint beaucoup. Intégrant les troupes de la Swinging Air Force en 2017, elle s’investit passionnément dans les danses et l’histoire du swing. Aux Championnats Canadiens de Swing (CSC) de 2019, elle récolte, au niveau intermédiaire, la première place du Mix&Match et l’argent au Slow Dance Strictly. Depuis, Audrey enseigne le Lindy Hop, le Charleston et les air steps à Montréal, au Bas-St-Laurent, en Gaspésie et même dans l’État de New York. Elle participe, chorégraphie et anime lors de différents gigs, dont les Grands Feux Lotos Québec à Lévis. Elle s’adonne aussi au Blues et au Balboa. Avec son partenaire, elle se classe et affronte les célèbres Nils et Bianca lors du Normalizer aux International Lindy Hop Championships (ILHC) de 2019. De retour à Québec depuis 2021, elle est très excitée de participer à l’effervescence des scènes swings de la capitale.
Quelle lecture t’a le plus marquée cette année? Danser sur le dos de notre tortue de Leanne Betasamosake Simpson
Quels sports pratiques-tu? Mis à part le Lindy Hop, je suis dans une équipe féminine de balle molle. Je fais de la randonnée et du rollerblade. J’aime également jouer au volleyball et au badminton.
Quelles sont trois choses indispensables dans ta cuisine? Ma poêle en fonte, des oignons et du beurre. Voici la base de toutes mes meilleures recettes.
Un hot-dog est-il un sandwich? Non, car même s’il a du pain, un hot-dog contient une saucisse, ce qui n’est pas le cas d’un sandwich.